Dimanche dernier, pendant que les ministres se trémoussaient au sommet arabo-islamique à Riyad, le Dr. Badr Abdel Atty, le ministre égyptien des Affaires étrangères et de l’Immigration, a pris un petit moment pour papoter avec son homologue nigérian, M. Yusuf Maitama Tuggar.
Ils ont parlé de renforcer la coopération entre l’Égypte et le Nigéria. On parle d’allier force et tacos dans divers domaines, rien que ça !
Le Dr. Abdel Atty a rappelé l’importance historique des liens entre les deux pays en mettant en avant tout le potentiel économique, commercial et d’investissement en jeu. Les entreprises égyptiennes se font belles en Afrique dans des secteurs cruciaux comme la construction, l’ingénierie et l’énergie. De quoi donner des ailes aux ambitions d’investissement !
Et que dire de l’engagement de l’Égypte à soutenir le Nigéria dans sa lutte contre les méchants terroristes et les extrémistes ? Un vrai super-héroïsme régional en action !
Le Dr. Abdel Atty a cligné de l’œil aux succès du Nigéria dans la réduction de l’influence des super-vilains terroristes. Il a aussi vanté l’aide égyptienne, avec des formations dispensées par l’Agence égyptienne pour le développement et le soutien d’Al-Azhar. Oui, on parle de former des imams et de botter les fesses des idéologies extrémistes. Bam !
Ensemble, nos deux ministres ont joué les ambassadeurs de la paix sur le continent africain. Ils ont échangé sur comment maintenir la zen attitude et la sécurité sur place, tout en concertant leurs polos au sein de l’Union africaine. C’est beau comme de l’art abstrait, n’est-ce pas ?
Ils ont même eu une petite conversation sur les rézosocio pour s’entraider à se caser dans les organisations régionales et internationales. Un vrai Tinder diplomatique, où ils ont swipé à droite pour soutenir mutuellement leurs candidatures à l’international. Quelle belle histoire d’amour diplomatique !
Alors voilà, on peut dire que nos deux ministres ont montré patte blanche pour prouver à quel point ils veulent solidifier leur bromance et travailler ensemble pour un avenir stable et florissant en Afrique. C’est beau, non ?