Ah, le Maroc a des ambitions en or pour 2025! Le pays mise sur un rebond économique en chouchoutant ses partenaires internationaux et en jonglant habilement avec les accords commerciaux. On parle d’équilibre de la balance commerciale par-ci, de maximisation des bénéfices par-là, le tout saupoudré de nouvelles opportunités à explorer. Ça va swinguer dans les échanges internationaux, mes amis!
Première étape de ce plan diabolique : les États-Unis. Oui, nos amis américains. Le Maroc veut devenir leur BFF en capitalisant sur la loi sur la réduction de l’inflation de 2022. Cette loi, en plus de promouvoir les énergies propres et l’innovation, vise à réduire la dépendance vis-à-vis des fournisseurs étrangers. En discutant fréquemment avec les États-Unis, le Maroc espère décrocher le gros lot en exploitant au maximum l’accord de libre-échange en place et en tirant parti des petits cadeaux fiscaux américains pour promouvoir ses produits sur le marché U.S.A. Can you feel the heat?
Et que dire de la Turquie? Le Maroc compte bien réajuster les échanges en imposant quelques règles du jeu. Pêche, produits agricoles transformés, le menu est prêt pour les locaux. Les entreprises turques établies au Maroc vont devoir se plier aux nouvelles règles du jeu : consommer local, mes chers! Le pays a même dans l’idée de réviser la liste des produits exclus de l’accord avec la Turquie pour mieux protéger ses secteurs vulnérables. Ça, c’est ce qu’on appelle jouer tactique, non?
En bref, le Maroc a des rêves plein les poches pour 2025 : booster ses échanges avec les potes américains, caresser la Turquie dans le sens du poil tout en protégeant ses intérêts. C’est du grand art commercial, les amis. Affaire à suivre, car le Maroc ne fait pas les choses à moitié quand il s’agit de danser sur la scène internationale!