La recherche immodérée de gain facile amène les jeunes camerounaises et les célébrités à se livrer de façon inadmissible à des pratiques peu orthodoxes, pourvu qu’elles leur rapportent de l’argent.
Très souvent, les histoires de parties de jambes en l’air fuitent sur les réseaux sociaux et beaucoup de médias locaux en font leurs choux gras.
Elles sont racontées sur les plateformes, avec des images exclusives et des vidéos incroyables.
Une chose est de s’adonner à ces genres de pratiques qui déshonorent mais une autre est d’accepter de se faire filmer pour des besoins quel qu’ils soient.
On se souvient encore comme si c’était hier de l’actrice Léa Monkam dont les photos ont été publiées sur la toile et sur lesquelles on la voit de haut dans le bureau d’un homme qu’on a présenté comme un directeur général d’entreprise qui promettrait un gros contrat à Léa en contrepartie d’un moment de plaisir charnel avec elle.
La principale concernée avait rapidement réagi lorsqu’elle a su que ses photos et son histoire tournaient déjà en boucle partout dans les smartphones: « Je n’arrive pas à dormir.
Regardez dans quel état vous m’avez mis.
Facebook m’a finie, même ma famille ne me laisse pas, tout le monde me demande des explications sur quelque chose que je ne connais pas. Vous voulez savoir quoi ? ».
La jeune actrice avoue que « oui je suis une femme, une jeune comédienne, c’est vrai que j’étais dans ces locaux pour un contrat, pour ceux qui veulent tous les détails. Voilà c’est de là que viennent ces images mais je vous assure que tout ne s’est pas passé comme vous voyez-là ».
A l’en croire, << la personne qui a publié ces images-là est mal intentionnée, très mal même à la limite méchante. Je vais tout dire, tout sans rien laisser, aucune vérité ne sera cachée et aucun nom couvert >>.
Source: CamerounWeb