"Scandale au Mali : 18 milliards de dollars déversés par le Canada pour l'or africain!"

« Scandale au Mali : 18 milliards de dollars déversés par le Canada pour l’or africain! »

Le Canada a récemment sorti le carnet de chèques pour régler une querelle qui l’opposait au Mali concernant l’exploitation aurifère, en déboursant la coquette somme de 18 milliards de francs CFA, soit l’équivalent de 30 millions de dollars US. Oui, tu as bien entendu, on parle de millions là, pas de monnaie de singe!

Cette frasque financière implique la société canadienne B2Gold, qui a vidé son bas de laine pour maintenir ses activités dans le pays. On peut dire que c’est une belle somme qui change de poches, non?

Tout ce micmac intervient après qu’un audit gouvernemental ait tiré le rideau sur un manque à gagner astronomique pour l’État malien, culminant entre 300 et 600 milliards de francs CFA. Ça fait réfléchir, hein?

La mine de Fekola, la poule aux œufs d’or de B2Gold et la deuxième plus grande mine d’or du Mali, se retrouve au cœur de cette valse financière. Avec une prévision de production annuelle de 420 000 onces d’or d’ici 2024, cette mine a vraiment la cote!

La régularisation fiscale s’accompagne d’une remise à neuf du système opérationnel. Le projet d’expansion Fekola Regional, à quelques encablures de la mine principale, promet de faire flamber la production, passant de 80 000 à 100 000 onces d’or par an dès 2025. Un vrai feu d’artifice en perspective!

Cette extension devra se plier au nouveau code minier malien de 2023, qui fait grimper la participation de l’État et des investisseurs locaux à 35%, contre 20% auparavant. Le Mali a décidé de reprendre les rênes de ses précieuses ressources naturelles. C’est ce qu’on appelle un coup de poker bien joué!

Le gouvernement table sur des revenus supplémentaires annuels de l’ordre de 500 milliards de francs CFA grâce à cette petite réforme. Ça fait rêver, n’est-ce pas?

Bien sûr, tout n’est pas toujours tout rose dans ce monde de pépites resplendissantes. Les résultats du troisième trimestre 2024 de B2Gold montrent des difficultés opérationnelles, entre retards, caprices de la météo et soucis techniques au Mali. C’est pas tout les jours facile, même pour les gros bonnets de l’or!

Malgré ces embûches, la société B2Gold reste sur le qui-vive pour atteindre ses objectifs annuels, prouvant ainsi sa solidité et son engagement à long terme dans le pays. Rien n’arrête ces durs à cuire!

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