Message du journaliste Boris Bertolt à l’endroit de J. Rémy NGONO.
RÉMY NGONO, SI TU ES UN HOMME, CITE MON NOM DANS TES FABLES D’ALI BABA ET JE VAIS DÉMONTRER QUE TU ES LE PIRE DES CORROMPUS. ET DIEU SEUL SAIT QUE JE NE PARLE JAMAIS POUR RIEN
Rémy Ngono, la récréation est terminée.
Depuis que tu racontes tes bê-ti-ses je t’ai laissé. TU M’ARRÊTES ÇA VITE.
Moi je ne t’ai jamais écouté. Car pendant des années c’est moi que tu appelais vendredi ou samedi pour que je te donne des biscuits sur tes directs. Parfois tu m’emmerdais tellement que je ne te prenais pas au téléphone.
SI TU ES UN HOMME JOUE DANS LA COUR DES GRANDS, CITE EXPLICITEMENT MON NOM DANS TES HISTOIRES D’ALI BABA. TES MENSONGES SANS LA MOINDRE PREUVE.
ACCUSE MOI DIRECTEMENT. CITE UN PEU MON NOM DANS TES BÊ-TI-SES SI TU ES GARÇON.
Tu as pris le nom des enfants des gens récemment tu les as jeté à la vindicte populaire. Sans aucune preuve. Rien du tout. TU TE PRENDS POUR QUI!!!!
SI TU AS DONC LES PREUVES DE TES DIRES CITES MON NOM OUVERTEMENT. ACCUSE MOI COMME UN HOMME. PREND TES RESPONSABILITÉS.
Je vais te montrer que tu es un petit animateur qui passe son temps à compter le nombre de buts Quand un joueur marque au goal.
N.B: Rémy Ngono tu m’arrêtes tes bêtises très vite. Ceux qui t’envoient m’attaquer, j’ai refusé de travailler pour eux ( je connais qui t’a recruté depuis des mois et bien avant le décès de Martinez et j’ai chassé cette personne avec son argent qui m’avait déplacé d’UTRECT en Hollande pour Paris). Tu es un enfant dans un jeu qui te dépasse.
Tu connais tout ce que je sais sur toi et tout ce que j’ai sur toi ( J’espère que tu n’avais pas pensé que j’avais effacé. C’est la main de Dieu). Je ne vais pas parler comme un charlatan SANS PREUVES COMME TOI pour semer gratuitement la haine.
Je vais venir avec les preuves ( objet, virement, dates, intermédiaires, comptes bancaires). TOI MÊME TU SAIS QUE QUAND JE PARLE COMME ÇA CELUI QUI EST INTELLIGENT SAIT CE QU’IL A À FAIRE.
Ce n’est pas parce que tu aboies depuis des semaines comme un chien enragé que je ne peux pas réagir. J’ai cru un moment que tu aurais eu un peu de décence pour les bons moments que nous avons passé ensembles. Par respect pour l’amitié. Mais tu restes Fidel à l’oseille. Et tu dépenseras également cet oseille devant un tribunal.
A ceux qui me diront de laisser passer, ARRÊTEZ VOTRE FOU. YEN A MARRE DE L’IMPOSTURE DANS CE PAYS.
BORIS BERTOLT