Décryptage d’une déclaration audacieuse ! Safiyyah Kassim, figure éminente de la thérapie conjugale au Nigeria et fervente musulmane, a secoué la toile en affirmant haut et fort que l’islam ne cautionne pas l’utilisation des tests ADN pour établir la paternité. Oui, vous avez bien lu !
Selon cette experte, en vertu des préceptes islamiques, un bambin est automatiquement rattaché au mari légitime de sa mère, même si les résultats d’un test ADN pointeraient vers un autre géniteur. Elle a déclaré sur Facebook sans ambages : « Dans l’islam, un enfant revient de droit à son père époux, peu importe les circonstances de la conception ! L’ADN n’est pas le bienvenu dans nos contrées ! » Ça, c’est ce qu’on appelle une déclaration qui fait causer dans les chaumières musulmanes et au-delà.
Pour Safiyyah Kassim, cette position s’ancre dans une maxime islamique qui privilégie le lien légal sur le lien biologique, préservant ainsi l’unité familiale et évitant les stigmatisations. En d’autres termes, l’islam met un point d’honneur à préserver la cohésion familiale en accordant au mari une présomption de paternité, afin d’éviter les discordes et les dissensions dans le cocon familial.
Cependant, ces paroles ont déclenché une tempête de débats en ligne, certains remettant en question la validité de ce principe à l’ère moderne où les tests ADN foisonnent et sont perçus comme des outils incontournables pour confirmer les liens de parenté. Les partisans de l’ADN clament que la vérité biologique favorise la transparence et l’équité au sein des familles, surtout en cas de doute ou de tromperie.
D’un autre côté, des voix s’élèvent pour défendre l’opinion de Kassim, mettant en avant l’acceptation indéfectible de l’enfant par son père comme un pilier spirituel de l’islam, prônant ainsi la tolérance et la stabilité du foyer. Et voilà comment une simple prise de position a semé la zizanie sur la Toile !
En conclusion, que vous soyez plutôt team ADN ou team principe islamique, une chose est sûre : ce débat ne manque pas de piquant et risque de faire couler encore beaucoup d’encre (virtuelle bien sûr) ! Alors, à vos claviers pour ajouter votre grain de sel à cette discussion animée qui agite la sphère numérique.