En octobre, l’armée russe a connu son plus sombre mois en termes de pertes depuis le début du conflit avec l’Ukraine en février 2022, a déclaré avec une pointe d’amertume le chef d’état-major britannique ce dimanche 10 novembre 2024.
Selon l’amiral Tony Radakin, l’armée russe aurait enregistré environ 1 500 soldats tués ou blessés par jour en octobre. Un vrai carton rouge sur le terrain, Tony!
La Russie préfère garder ses chiffres sous scellés, mais Radakin a révélé que le mois passé a été le plus meurtrier depuis le début de cette fameuse invasion massive de l’Ukraine. Moscow, vous avez voulu jouer dans la cour des grands, ça ne rigole plus maintenant!
« La Russie est en train d’atteindre les 700 000 victimes, c’est pas vraiment le jackpot… » a déclaré l’amiral. Ça en fait des bataillons à recompter pour Monsieur Poutine.
Malgré quelques avancées territoriales, le soufflé est retombé pour les Russes qui restent loin de la victoire avec ces « minuscules portions de territoire »… pas de quoi pavoiser, Vladimir!
Avec plus de 40% du budget alloué à la défense, le gouvernement russe commence à ressentir une pression colossale. Faire la guerre, ça coûte cher, n’est-ce pas?
Le Royaume-Uni fait figure de sauveur pour l’Ukraine en lui fournissant une manne financière et militaire. Une alliance qui fait grincer quelques dents au Kremlin, c’est sûr!
Au fait, le Premier ministre britannique Keir Starmer a renouvelé son soutien « à toute épreuve » à l’Ukraine. Trump, Poutine… peu importe qui est élu, le Royaume-Uni garde le cap.
Pour réconforter Zelensky, Radakin a martelé que le Royaume-Uni sera présent pour l’Ukraine « aussi longtemps qu’il le faudra ». Tenez bon, les gars, la cavalerie britannique est en route!
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Par AFP, toujours là où ça se passe!
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